Exposition « Le train capitale » — Paris 2003

Voie normale

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Le Train Capitale

Paris, Champs Élysées

17 mai au 15 juin 2003

Première partie

Toutes les photos © 2003 par Frédéric Delaitre

Introduction | 1è partie | 2è partie | 3è partie | 4è partie

Cliquer sur les photos pour les agrandir. (Photos prises le 30 mai 2003)

Voie étroite sur une large avenue

Bien cachée sous les frondaisons, cette plateforme Péchot modèle 1888 est équipé d'un attelage automatique (ou autocoupleur) Willison — un attelage qui fut utilisé également sur les automotrices de la ligne de Sceaux.

Un Picasso aux Champs

Honneur aux autorails X3800, surnommés « Picasso », selon certains à cause de leur cabine de conduite surélevée et décentrée, selon d'autres en raison des nombreux essais de peinture effectués par la SNCF avant leur mise en service. Archétype du serviteur fidéle du rail dans nos provinces, il était particulièment apprécié des ferrovipathes pour ses banquettes situées à l'avant (ou à l'arrière suivant le sens de marche) avec vue directe sur la voie.

A gauche, au moins un Picasso aura circulé sur une voie RFF. Au milieu, petit rappel des dessertes rurales assurées par cet autorail avec une, puis deux vaches (dont l'une me fait penser aux bovidés utilisés pour les cérémonies funéraires à Bali...). A droite, rencontre de deux serviteurs obscurs des transports publics, le Picasso voit passer un autobus Renault R312 3 portes encore en service sur la ligne 93.

Route roulante

A défaut de la voir en action, on peut admirer la technologie Modahlor (en attendant, les camions continuent à polluer et tuer sur nos belles routes...).

Loin de Mulhouse...

Fuyant les travaux en cours au Musée du chemin de fer de Mulhouse, quelques beaux spécimens ont trouvé un refuge temporaire sous les frondaisons des Champs. À commencer par la BB9004 du record du monde des 28 et 28 mars 1955, le très photographié wagon bi-foudre et la Crampton. Il est intéressant de noter que cette Crampton de 1852 est exposée presque à l'emplacement du Palais de l'Industrie, où fut présentée lors de l'exposition universelle de 1855 l'une de ses sœurs.

La suite... 2è partie

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Voie étroite sur une large avenue

Bien cachée sous les frondaisons, cette plateforme Péchot modèle 1888 est équipé d'un attelage automatique (ou autocoupleur) Willison — un attelage qui fut utilisé également sur les automotrices de la ligne de Sceaux.

Un Picasso aux Champs

Honneur aux autorails X3800, surnommés « Picasso », selon certains à cause de leur cabine de conduite surélevée et décentrée, selon d'autres en raison des nombreux essais de peinture effectués par la SNCF avant leur mise en service. Archétype du serviteur fidéle du rail dans nos provinces, il était particulièment apprécié des ferrovipathes pour ses banquettes situées à l'avant (ou à l'arrière suivant le sens de marche) avec vue directe sur la voie.

A gauche, au moins un Picasso aura circulé sur une voie RFF. Au milieu, petit rappel des dessertes rurales assurées par cet autorail avec une, puis deux vaches (dont l'une me fait penser aux bovidés utilisés pour les cérémonies funéraires à Bali...). A droite, rencontre de deux serviteurs obscurs des transports publics, le Picasso voit passer un autobus Renault R312 3 portes encore en service sur la ligne 93.

Route roulante

A défaut de la voir en action, on peut admirer la technologie Modahlor (en attendant, les camions continuent à polluer et tuer sur nos belles routes...).

Loin de Mulhouse...

Fuyant les travaux en cours au Musée du chemin de fer de Mulhouse, quelques beaux spécimens ont trouvé un refuge temporaire sous les frondaisons des Champs. À commencer par la BB9004 du record du monde des 28 et 28 mars 1955, le très photographié wagon bi-foudre et la Crampton. Il est intéressant de noter que cette Crampton de 1852 est exposée presque à l'emplacement du Palais de l'Industrie, où fut présentée lors de l'exposition universelle de 1855 l'une de ses sœurs.